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Le succès et l'export de l’art contemporain coréen est lié à son histoire, sa géographie et sa politique.

L’évolution de son art est surtout rythmée par les différents chapitres de contrôle extérieur et d’échanges culturels. C'est ce que l'on peut constater avec l'exemple de Lee Ufan.

 

L’année 1945 désigne à la fois la fin de l’administration Japonaise pour la péninsule Coréenne, la fin de la seconde guerre mondiale mais aussi bien sur le marqueur du début de la période de l’art contemporain que nous allons étudier dans ce webdocumentaire. 

 

 

Aujourd’hui il paraît évident que la Corée du sud a réussi son arrivée sur le marché de l’art contemporain, en revanche, la question qu’on peut se poser est : quelle place a l’identité Coréenne dans ces oeuvres qui se sont si vite exportées. Nous allons tenter de démêler les éléments d’influences extérieures des éléments qui peuvent être rattachés à une identité Coréenne.

L'art contemporain coréen - Entre influences extérieures et identité nationale

Les chaebols : clé de voute de l'art contemporain

Les chaebol 재벌, sont en Corée des ensembles d'entreprises, de domaines variés, entretenant entre elles des participations croisées.

Il en existe une trentaine, chacun détenu par une grande famille dynastique.

L’histoire des musées d’art moderne en Corée remonte à maintenant un peu plus de 50 ans. Commençant par l’ouverture du musée national d’art moderne et contemporain en 1969, de nombreux autres musées ont commencé à ouvrir. Les années 80 et 90 ont vu une véritable explosion des musées créés par des grandes entreprises. L'association des musées d’art contemporain, lancé en 2005, compte aujourd’hui bien plus de 100 différents musées membre.

Le Ho-Am Art Museum à Yongin est le premier musée privé fondé en Corée. Il a ouvert en 1982 et rassemble la collection d’art moderne du fondateur de Samsung Lee Byung-chul.

Cela a lancé un élan pour les autres grandes entreprises Chaebols qui ont toutes ouvertes des galeries d’art ou des musées. L’État a participé au mouvement en donnant des subventions à ces conglomérats pour mettre en avant l’art contemporain.

Aujourd’hui ces grands groupes continuent ces investissements pour maintenir une bonne image et contribuer à la société. Bien souvent la responsabilité de ces musées est donnée à la “première dame” du conglomérat. Certains ne voient pas ces investissements d’un bon œil au vu de l’importance que ces groupes ont aujourd'hui en tant que curateurs de l’art contemporain. Mais durant les 30 dernières années ces grands groupes ont élevé l’art contemporain à un autre niveau.

Le premier contact à l'art contemporain pour les Coréens s'est fait avec Bando gallery en 1956, une gallerie privée.

Jinsang Yoo aborde le rôle des chaebols pour le marché de l'art contemporain Coréen

Visite virtuelle du musée Leeum

1945-1997 : préparer le terrain pour l'émergence

Le décrochage d'oeuvres de jeunes artistes lors d'une exposition montre la résistance à l'émancipation de la dictature. Un acte fort de répression d'artistes engagés. 

Le soulèvement démocratique de juin 1987, mené par le mouvement étudiant, qui reprend les revendications du mouvement pour la démocratisation de 1980 (Gwangju). Il affirme le désir de démocratie de la péninsule et montre l’affront de la nomination de Roh Tae-woo à la tête du pays, signe négatif quant à la révision de la constitution pour élire le président au suffrage universel. 

La réussite des JO de 1988, qui ont offert un plus grand confort économique au pays, une plus grande confiance des coréens dans leur capacité de réussir à l’échelle internationale et le début d’une plus grande liberté d’expression.  

Dans cette période de début d’indépendance du Japon jusqu’au début de la guerre civile, les groupes artistiques se montrent déjà très divisés. L’exposition nationale d’art de 1949 est la première révélation aux yeux de tous de cette intense division. La guerre civile fera disparaître pour un temps toute production artistique.

La politique économique de 1997, menée avec le FMI : elle a impulsé la création de différentes structures culturelles, comme la biennale de Gwangju, des centres culturels financés par des chaebol (Samsung, Daewoo…), des programmes de résidence et des programmes alternatifs.  

Bien que l’histoire de l’art coréen soit très ancienne, l’art contemporain coréen est enclavé dans une étendue très dense, mouvementée et rythmée par une histoire nationale très violente et idéologique. Si de nombreux critiques d’art s’accordent à placer le début de l’art contemporain en Corée en 1987, avec l’émergence du courant de peinture monochrome Dansaekhwa, il a fallu préparer le pays sur le terrain politique à un mouvement qui va aider le pays à s’ouvrir à l’international.  

Plusieurs marqueurs historiques importants ont rythmé l’émergence de l’art contemporain en Corée :  

Jinsang Yoo, critique d'art, nous parle des origines de l'art coréen ainsi que des spécificités de l'art contemporain coréen.

La décennie 1990 verra l’art contemporain coréen prendre une vraie place sur la scène internationale, avec une croissance constante jusqu’en 2008, année de la crise financière et bancaire.  

L'art contemporain coréen aujourd'hui

La jeune génération d’artistes

Né dans les années 1980-1990, cette génération a subi les effets de la stagnation économique et du chômage. En effet, ils ont connu la crise du Fonds monétaire international en 1997 et la faillite de la banque Lehman Brothers en 2008, au plus fort de la bulle du marché de l’art. Contrairement à leurs ainés qui partaient étudier à l'étranger, la plupart préfère cultiver des liens avec les lieux dans lesquels ils ont grandi. Néanmoins, ils voyagent ou restent en contact avec le monde extérieur en fonction de leurs centres d'intérêts. Les recherchent et les échanges en ligne sont privilégiés. Cette générations gagne en expérience par leur propre moyen.

À partir de 2013, de nouveaux espaces alternatifs d’exposition voient le jour. Ce sont les Shinsaeng Gong-Gan, qui se situent dans les zones à loyer modéré où le public habituel des expositions se rend rarement. L’intérêt de ces espaces est qu’ils sont géré et créé par des artistes débutants, ils assurent la création d’un réseau d’expositions à la fois autonome et durable, des lieux faciles à monter et démonter, sans oublier un réseau actif d’échanges et d’entraide entre les jeunes artistes, et la communication d’une exposition se fait essentiellement en ligne. La création de ce type d’espace illustre bien les difficultés économiques auxquels sont confrontés les artistes. En effet, ils recherchent des lieux bon marché où exposer pour se faire connaître.

Dans le but de donner plus de visibilité à l’art contemporain et aux jeunes artistes. Une émission de compétition similaire à Top chef a été créé. Il s’agit de Art Star Korea.

 

 

Témoignage de Yoo Jinsang l’un des jurys de cette émission avec un extrait.

Extrait de Art Star Korea

Autres Exemples d'artistes

Caractéristiques de l'art contemporain coréen

Avec Lee Seulgi, on retourne à nos racines. Elle s’intéresse à l’artisanat traditionnel qui se perd au fil du temps. Des choses anciennes qu’elle veut retrouver et lié au monde moderne dans lequel nous vivons. Ainsi, elle produit des oeuvres au moyen de techniques traditionnels et historiques auxquels elle associe des élément plus contemporains. Découvrez ses projets dans cette vidéos

Yangachi est un artiste qui parodie l’histoire contemporaine et la politique coréenne. Dans l’interview ci-dessous. Vous pourrez voir qu’il remet en question l’utilisation des caméras de surveillance en les utilisant pour réaliser le projet DoveHyunsook. Il rappelle qu’il est possible de les pirater. Il met aussi en jeu une narration, une série qui raconte l’histoire d’un personnage aux multiples personnalités, le pigeon et Hyunsook, représentant différent côté de soi. Pour lui cette idée de faire une oeuvre narrative représente le contraste amusant de l’attachement que son pays a pour les dramas coréens malgré le fait que leur contenu soit toujours critiquer.

Nam Hwayeon s'intéresse aux frontières entre les individus et l'histoire, entre le patrimoine politique et culturel. Diverses formes de documents d'archives servent souvent de fondement à ses œuvres. Elle soulève des objets, des espaces et des personnes hors de leur contexte historique et les pose dans notre époque actuelle afin de renégocier leur sens et leur signification. Nam Hwayeon montre clairement que les temps dans lesquels nous vivons seront toujours influencés par notre perception du temps.

Jun Sojung s’intéresse au quotidien et à la manière dont il interagit avec l’art. Dans ces oeuvres, elle associe des formes narratives et documentaires en y introduisant une grande variété de médiums, comme des interviews, des dessins, de la musique, des photographies, etc. 

Elle est intéressée par le concept de temps et par la répétition des expériences émotionnelles dans nos vies. Elle utilise les histoires des individus qu’elle croise et les raconte dans ses oeuvres à travers des mises en scène, des performances et des narrations en utilisant des textes anciens comme référence.

Dans ses oeuvres, Kim Heecheon évoque comment ceux qui sont habitués à internet, aux réseaux sociaux et assistés par des appareils « intelligents » appréhendent le monde « réel » et comment, en retour, celui-ci s’adapte à ces nouvelles conditions.

Il questionne la temporalité dans laquelle nous vivons et comment nous percevons le monde avec ces outils numériques.

Exemple de Every smooth thing through Mesher, commandé à l’origine pour la Biennale de Gwangju 2018

Pour le caractériser on doit prendre en compte 3 éléments important tels que l’aspect technologique, l’aspect visuel conceptuel voir traditionnel que l’on pourrait qualifier de langage universel, et la situation politique du pays qui est très présent dans le travaille des artistes coréens. Leurs préoccupation artistiques reflète en partie ce que le pays est en train de vivre.

Pour sa Carte blanche au musée Guimet, Min Jung-Yeon a exposé son œuvre Tissage du 6 novembre 2019 au 17 février 2020. Il s’agit d’une installation immersive composé de 9 dessins oniriques, calmes et doux à la fois liés et autonomes auxquels s’ajoute des tuyaux métalliques et des miroirs. Tout cela représente une forêt conçut pour que l’on s’y perde. Cette oeuvre symbolise la propre vie de l’artiste. Dans son enfance, elle s’était créé son propre univers dans une forêt. Un univers qui s’est brisé à cause d’un traumatisme suite au fait qu’un homme qui s’y est introduit l’a agressé. Son œuvre vise à faire coexister enfance et traumatisme, à accepter la différence et les contraires. 

 

Mais une part de ce travail fait aussi écho aux questionnements politique actuelle. On s’est longtemps posé la question  de la  réunification du pays, ce qui impliquerait un bouleversement idéologique imposé à l’une des deux parties. Aujourd'hui, Min JungYeon pense que les termes de la question étaient mauvais. Pour elle, il faudrait parler de réconciliation plutôt que de réunification. Mettre en avant le fait d’apprendre à bien vivre ensemble, à se respecter, à s’accepter. Il ne devrait pas être question de recréer un pays unique où le caractère de chacun disparaît. Il faut accepter la différence.

Visite au musée !

Annexe

Les jeux olympiques de Séoul

La politique économique de 1997

Les mouvements de manifestation

1985 : un acte d'opposition du pouvoir

La période 1945 - 1953

Pour aller plus loin

Pour aller plus loin

Conférence de Chung Sang-A

" L'art contemporain coréen sur la scène internationale" 

Mars 2013

Notre première carte blanche à ... Jisun Lee

Notre seconde carte blanche à ... Uhm Do-Yeon

" Je m’appelle Jisun Lee. Je suis une artiste multimédia. Je suis venue en France en 2008 et j’ai étudié à Dijon. Je suis venue à Paris après mes études. Je suis maintenant une artiste depuis 6~7ans "

" Bonjour, je m’appelle Uhm Do-yeon. Je vis en France depuis 11 ans. J’ai étudié le design industriel pendant 3 ans et après j’ai pensé que ce n’est pas ma route. 

Je suis parti en France pour étudier l’art et j’ai fini une licence et un master à l’université de Paris Cergy. Maintenant, je suis étudiante de photo à l’université de Paris 8, artiste et photographe puis j’ai organisé une maison d’édition avec deux photographes"

"Puisque j’ai beaucoup étudié le design, je n’ai pas de modèle artistique particulier quand je travaille. Je suis comme une débutante dans les musées et les galeries. Et maintenant j’ouvre mes yeux en France, parce qu'il y a plus de galeries et musées que la Corée. Je vis toujours au centre Pompidou. J’y regarde presque toujours des films. La représentation est beaucoup développée. J’allais souvent pour voir les représentation et les galeries, [...] j’absorbe beaucoup d’art européen."

" Je pense que l’artiste qui a laissé une grande trace est Nam-june PAIK. Je pense aussi qu’il est un grand artiste militant, parce que beaucoup de gens qui font de la vidéo en France le prennent comme exemple-type.

Et maintenant, entre ce que j’ai entendu et vu en vivant ici, [...] quand je rencontre les français qui ne font pas l’art à partout, ils racontaient beaucoup sur les réalisateurs coréens Joon-ho BONG , Chan-wook PARK et etc je pense peut-être que les réalisateurs coréens nous montrent les choses très fortes et nouvelles. "

"Je pense que quand les artistes coréens sentent la contrainte d’expression, ils extériorisent leur volonté forte. Donc, par la suite de l’esprit des artistes qui étaient dans l’époque de dictature militaire, après l’époque de PARK Jeong-hee et PARK Geun-hye, il y a des artiste avec l’esprit de cette époque. Ils émettent des messages politiques... Ce genre de choses la aussi ne sont pas positifs. Quelque voix éclate dans ce lien avec le féminisme, où les artistes féminins parlent d’une voix. Des histoires, des voix se sont montrées importantes dans l’art historique coréen. "

"Mon idée personnelle est qu'il y a beaucoup de jeunes qui s'intéressent la Corée en ce moment. Tout la classe d’âge aussi intéressent la Corée, en fait. Je pense que c’est grâce à la K-POP majoritairement, qui est célèbre dans le monde. Pas de l’art coréen. Le sentiment d’existence influence aux autres domaines, cependant. Par exemple, quand quelqu’un dit “J’aime bien la K-POP" et ensuite "je veux étudier le coréen" ou "je regarde un film coréen?", "je mange un plat coréen?"... Autrefois, il y avait des jeunes qui ne connaissaient pas où était la Corée. Mais maintenant, des gens la connaissent naturellement grâce aux films et à la musique. Les artistes coréen ont attirés beaucoup d’attention."

" C’est parce que je dessine, fais des arts vidéos, fais de la photo, écris, fais de l’art d’installation etc. Ce que j’appelle le multimédia c’est en fait ce qui touche à des médias divers, c’est plus simple pour nommer toutes ces choses variées. "

"En fait, l’art contemporain n’a pas de caractéristiques coréennes. Parce que l’art contemporain est un mélange et tous les artistes font de nouvelles tentatives en art contemporain."

"Il a laissé une trace,car pour la première fois, en tant qu’artiste coréen, il a fait une très grande exposition au Château de Versailles. [...] Il n’arrête pas son oeuvre là, avec ce qu’il a mis en place, ça a permis une éducation qui donne la chance à d’ autres jeunes artistes ainsi que l’ouverture un musée d’art. Je crois que toutes ces choses prennent de plus en plus d’ampleur.Et je pense que cet artiste, avec tout ce qu’il a mis en place est un précurseur en France."

" La question du chez-moi est quelque chose d'important dans ma vie, surtout puisque je suis quelqu'un d'étranger, qui habite à l'étranger. La recherche d'un véritable chez-moi est toujours une question sans fin, sans réponse". C'est quelque chose d'angoissant, mais ça intrigue également. ça donne le désir d'en avoir un."

Cette question du chez-moi se retrouve dans son oeuvre

"Time village"

Consultez notre interview de Jisun Lee sur l'exposition P:Retro pour en savoir plus !

INTERVIEW (en français)
 

Jisun Lee expose lors de la 2e Édition de P:Retro, faisant la promotion d'artistes multimedia

Montage

en cours

INTERVIEW (EN CORéEN)

 

Dans l'atelier parisien de JiSun Lee.

INTERVIEW (EN CORéEN)

 

à proximité du centre pompidou

Traduction

écrite

en français

Traduction

écrite

en français

Une artiste multimédia ? 

Un regard d'artiste "débutant" ? 

Nam-June Paik, un artiste exemplaire

L'art coréen : un art engagé ?

Un interêt actuel fort pour la corée à l'international

Des caractéristiques pour l'art contemporain coréen ? 

Lee Ufan, un précurseur

L'importance de trouver un domicile

En marge avec le système artistique actuel qui manque de politique et d’éducation en matière d’art contemporain dans les collections publiques. Ils cherchent à s’éloigner de l’esprit convention­nel des milieux de l’art et le conservatisme des marchés d’art coréens. Ils n’organisent pas seulement des expositions mais aussi des conférences et des salons d’art. En 2015, les artistes expriment quand même une volonté d’avoir un espace dédié aux jeunes artistes au Musée national d’art contemporain. Ils finissent par avoir gain de cause en 2016 grâce à l’exposition Séoul Babel au Musée d’art de Séoul (SeMA). Événement qui fera polémique car paradoxalement, le caractère institutionnel de ce genre d’exposition ne concorde pas avec la vision anticonformiste et libre que les Nouveaux Espaces défendaient initialement.

Lee Ufan

 

lA FIGURE DE PROUE DE l'art contemporain Coréen 

Lee Ufan est né en 1936 dans un village rural en Corée sous la domination coloniale japonaise. Ses premières années ont été marquées par une éducation confucéenne stricte où il a été formé à la peinture au pinceau en Asie de l'Est. L'acte discipliné et répétitif de dessiner des points et des lignes - le fondement des arts classiques chinois - influencerait particulièrement sa pratique artistique plus tard dans la vie. En 1956, Lee a fréquenté le Collège national des beaux-arts de Séoul et en 1958 transféré à l'Université Nihon de Tokyo pour étudier la philosophie et l'esthétique.

Lee a pris de l'importance à la fin des années 1960 en tant que principal théoricien et praticien de Mono-ha, un mouvement artistique japonais né du tumulte anti-autoritaire et anticolonialiste de l'après-guerre. Il a souligné l'utilisation de matières physiques brutes laissées à disperser, à maigrir, à laisser tomber ou à casser en fonction de leur situation. Appliquant le structuralisme, la phénoménologie et la métaphysique asiatique au dialogue avec les pratiques post-minimalistes internationales, Arte Povera, Nouveau Réalisme et Land art, il a développé un langage artistique radical tournant autour de la notion de rencontre - voyant la nue existence de ce qui est réellement devant nous et en se concentrant sur le monde" tel qu'il est".

Ji Young Park - Musée national d’art Coréen, un dispositif de transmission de valeurs et de connaissances des arts coréens

Fevrier 2018

※ Partie 1

※ Annexe

※ Partie 2

※ Partie 4

※ Partie 5

※ Partie 3

Marque-pages

Merci d'avoir consulté notre exposition virtuelLE

 

Nous espérons que vous avez appris autant que nous au cours de cette visite. Si vous souhaitez en savoir plus, vous pouvez consulter notre annexe contenant des contenus additionnels ainsi que des documents inachevés laissés en accès libre pour de futurs contributeurs (notamment les interviews, dont la traduction n'a pas pu être posée sur les médias vidéo).

Remerciements

 

Nous tenons à remercier toutes les personnes qui nous ont aidé à réaliser ce documentaire interactif :

Master cmw 

- Eric Maillet pour le pilotage de notre projet et ses conseils bienveillants tout au long de sa réalisation

- Pierre Boureau pour son aide à l'intégration de nos contenus sur RacontR

Université Dong-EUI

- Geon-Hee Choi et Ji-Hye Hwang pour leur aide à la réalisation technique des interviews, leurs suggestions durant leur préparation et leur motivation dès les premières minutes de collaboration. 감사합니다 !

Intervenants

- Le centre culturel coréen, pour leur bienveillance et leurs premières orientations au départ de notre projet.

- Jinsang Yoo pour l'interview Skype donnée durant cette période troublée par le Sars-CoV-2, qui a fixé définitivement la structure de ce documentaire.

- Jisun Lee pour nous avoir accueilli dans son atelier, puis sur l'exposition P:Retro. 

- Uhm Do-Yeon pour ses réponses à nos questions, à proximité du Centre Pompidou

- Jean-Christophe Fleury de l'Institut français en Corée du Sud, pour avoir répondu à nos questions quand le projet n'était qu'à ses premières réflexions. 

 

Naomi Anaclet - Franck Gregoire - Matthieu Comoy - David Pivert - Yu Gihoon 

 

Ces propos, tirés d'une interview de l'artiste, sont à retrouver en intégralité sur la page de droite ! 

ANNEXE